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Marguerite


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Dimanche 11 Novembre 2012
Délicate et désinvolte

Il est venu à la nuit tombée, c’était encore l’après-midi. J’avais éteint les lumières sauf la veilleuse d’enfants par terre, et une bougie à l’odeur de magasin. Il a poussé la porte, et c’était Lui. On s’est embrassé, il sentait la cigarette et il ne portait pas son parfum. Ensuite, c’était presque comme si on faisait l’amour. Il m’embrassait la peau doucement, comme si on s’aimait. C’était bien.

Ensuite, son téléphone sonnait, sonnait. Et il m’a fait écouter sa musique. J’étais bien, toute contente, je faisais des grands sourires comme une petite fille. J’avais envie de le toucher. Je me suis approchée et l’ai embrassé sur la joue. Il est parti en me serrant dans ses bras. Et j’étais toute excitée, comme avant.

Mat. est ensuite arrivé et c’est comme si les endorphines ne s’arrêtaient pas, j’avais envie de danser et de séduire la terre entière. J’étais bien, bien. Mat. a voulu dormir chez moi, il tentait plus ou moins de me prendre dans ses bras et c’était reparti comme avant. Je pensais « : « ce n’est pas lui », et je n’avais pas envie.

Ce mélange de contentement et d’excitation me donnerait presque l’impression d’être heureuse.  

Ecrit par Margue, à 09:36 dans la rubrique "Actualités".
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Jeudi 21 Juin 2012
trouble

Je n’arrive pas à dormir. Tout ce changement me fait peur, le passage d’un monde à l’autre, l’histoire d’une nouvelle vie. J’ai toujours peur du changement. Et je ne supporte pas l’immobilisme. J’aimerais dormir dans les bras de quelqu’un, cesser de me répéter cette phrase en boucle « j’aimerais quelqu’un qui m’attend quelque part ». Les choses ne sont pas simples, pas simples, pour personne. Pas définies dès le départ. J’ai besoin qu’il se passe des choses, au point que ce ne soit pas les choses que j’aimerais qui se passe ? Le mouvement pour le mouvement, pour fuir ce qui est ? Je suis fatiguée, mais cette horrible fatigue de l’hiver s’en est allée. J’ai peur. J’ai peur de ne pas aimer ce job, d’être malheureuse et d’avoir provoqué mon propre malheur, j’ai peur parce que je commence à peine à prendre conscience du monde où nous condamne la Grande Ecole, du monde d’exigences sans fin, de responsabilités, de pression. Ce monde hors de la réalité, des sentiments, du désir. Etre adulte, c’est être responsable, faire des choix, être soi. Je suis en train de le devenir et cela passe par assumer son désir, faire autre chose que rechercher l’attention, l’attention, la tension. J’ai envie de dormir dans les bras de quelqu’un mais juste pour les bras, pas pour l’autre. Et là se trouve le problème. Tout tourne toujours autour de moi, autour de moi sans moi, tel est le paradoxe. J’ai envie de dormir, de dormir dans l’herbe, dans mon hamac d’enfants, d’être loin mais de ne pas partir. Je sens mes paupières lourdes et l’angoisse tapie au fond de mes rêves. Il faut y aller, à la guerre, à la vie, au devant du temps. Il faut y aller, avancer, vivre ces choses, continuer d’espérer. Sans espoir, il ne reste plus rien. Cet été, je vais relire Pascal, lire au bord de l’eau, espérer qu’il fera chaud, que je n’aurai plus peur, plus peur.

Ecrit par Margue, à 00:14 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi 26 Décembre 2011
and I know it

J’ai pensé qu’il fallait que j’arrête de coucher avec des mecs en pensant à d’autres. Et plus tôt, dans la soirée, j’ai pensé que j’aurais aimé être une de ces trentenaires branchée à la fille d’artiste, au négligé réfléchi, avec des garçons à la fausse barbe qui font du graphisme, un vrai papillon de nuit, qui vit la vie sans pression, sans chiffres et sans analyses. Je ne serai jamais une de ces filles qui appartient à la fête comme ça.

Je n’ai rien payé de ces cocktails qu’il suffisait de respirer pour s’enivrer.

 

Quelque chose a changé cependant pour moi : je suis celle qui a dit « non ». « Non » à la facilité et tout ce qui va avec. Parfois je regrette un peu, et je me dis que c’était un coup de folie, puis je m’admire, et je me dis que je l’ai fait. Reste plus qu’à construire autrement. Et faire un choix positif, enfin.

Ecrit par Margue, à 14:31 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 18 Septembre 2011
All the things you do

Il s’est passé quelque chose d’étrange aujourd’hui. Je L’ai appelé sous un prétexte futile et j’ai soudain eu envie de pleurer. Non pas que je ressente quelque chose pour lui, je pense que c’était juste la fatigue et l’angoisse de tout ce qui arrive, et qu’il soit si distant. Et qu’on est dimanche. Et que j’aurais aimé…

Ecrit par Margue, à 18:31 dans la rubrique "Actualités".
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boo

J’étais en train de penser à Lui juste pour faire fuir l’ennui, mes bâillements et mon envie d’aller au lit. Je peux dorénavant regarder des filles avec son regard et les haïr. Et soudain, je me suis retournée et j’ai vu la lourde silhouette de D.A. D.A. est malsain, malheureux et insupportable. Je supporte de moins en moins les gens tristes qui trainent leur haine d’eux même et la reportent sur le monde entier. Parfois je pense à cette idée que David ne cesse de répéter, nous sommes à l’ère de la connaissance complètement transparente et accessible. Je me dis que j’aimerais ne rien faire d’autre que lire, qu’apprendre, faire du sport, nager, et la cuisine. Des quiches et des flans. Du poisson à la vapeur. Vivre. Respirer. Tout doucement. Profiter de chaque instant, chaque seconde, chaque souffle. Au lieu de cela, je risque de perdre des années. Je pourrais gagner assez d’argent pour vivre sans faire grand chose, sans pourrir mon existence. Ai-je besoin du superflu ? Mais j’aime les meubles froids, les lits en hauteur, les sacs en python, les voiliers. J’aime le luxe. Au point de considérer comme un luxe la vie ?

Ecrit par Margue, à 04:56 dans la rubrique "Actualités".
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Lundi 12 Septembre 2011
liberty

Week-end à Londres. Où je reçois cet horrible email d’Edouard samedi matin. Email plein de haine, de rancœur. Et je me demande où il trouve toute sa rage, toute cette force de destruction. Je n’ai plus la force de casser les choses, de me faire du mal ou de vouloir en faire aux autres. Je n’ai plus envie ni de manipuler ni de jouer. Je n’ai plus vraiment envie de me faire des films, d’imaginer ce que pourrait être ma vie parfaite. Car je suis contente, contente de moi, satisfaite, sûre que les choses tournent bien. Et plus ça va, moins j’éprouve le besoin d’être la meilleure, de prouver quelque chose, et plus je me demande ce que je veux, ce dont j’ai envie. Je n’ai donc pas vraiment été blessée par son email, j’ai juste mesuré avec effarement le fossé qui nous sépare, le fossé qui grandit sans cesse. J’ai même pensé à G. ce week-end, et au fait que je ne voulais plus faire de mal autour de moi, que je ne voulais plus être égoïste, plus considérer les gentils garçons comme des jouets, comme des distractions. Accepter le fait que la souffrance fait inévitablement partie de la vie, mais que la joie peut la chasser, c’est reconnaître que les autres peuvent ressentir la même chose. Et je ne veux plus faire de mal ni à moi, ni aux autres. Ca ne sert à rien. Tout ce temps pour arriver à cette conclusion.

Ecrit par Margue, à 01:20 dans la rubrique "Actualités".
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Mercredi 07 Septembre 2011
he was

Nous nous sommes revus aujourd’hui. Un déjeuner sous un prétexte fallacieux. Je n’étais même pas fébrile avant. Il a proposé. J’ai mis du mascara longuement en me souriant dans le miroir. Je suis jolie. J’arrive un peu en retard et vois sa longue silhouette noire qui avance vers moi, et son parfum. Je ne sais pas s’il a une ombre. Il a fait des commentaires sur le fait que j’avais changé de couleur de cheveux, et de couleur de peau, j’avais envie d’ajouter que j’avais également changé d’amant, malheureusement. Pas de battement au cœur, je le regarde droit dans les yeux et je lui fais mon sourire qu’il aime. Que dire ? Je pense qu’il est perdu mais qu’il avance. Et moi aussi, j’avance, sans lui. Mais lui semble avoir besoin de moi, de savoir ce que je fais, où j’en suis, que je l’aide quelque part. Et je me rappelle très bien de ce moment de crise où il m’avait dit : « j’ai besoin de toi », et j’avais senti que c’était peut-être la seule vérité. Mais je ne suis pas sa mère, pas son ange gardien, je ne sais pas ce que je suis pour lui. Je sais ce que j’aurais voulu être. Maintenant, je ne sais plus ce que je souhaiterais être, ni ce que je désire. Cela veut peut-être donc dire que c’est passé, qu’il est du passé, que ce connard a bien tout gâché.

 

Wait and see.

Ecrit par Margue, à 22:21 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 04 Septembre 2011
last season

Nuit, pluie. Nuit dans ma tête, boire un mojito au champagne, j’ai les cheveux flamboyants. G. m’embrasse, je m’en fous, je m’en fous. Ainsi je le présente partout, et on me demande : « c’est ton copain ? » et j’acquiesce, et ça me fait rire. Je m’en tape, G. peut dormir chez moi, il peut parler de moi mais quand il m’embrasse, quand il tente vaguement de me faire l’amour, c’est à Lui que je pense, Lui à qui je n’ai pas envie de donner de lettre, car j’aurais aimé qu’il ne soit jamais une lettre, jamais un autre garçon de plus. Je ferme les yeux très forts et je pense à lui, je pense à lui tellement fort que je me demande comment il fait pour ne pas le sentir. Et je me sens doucement vaciller dans la folie mais comme je suis saoule, je m’en tape. Je m’en tape qu’il m’embrasse, qu’il aime mon corps, et qu’il me parle, j’ai envie de lui dire de la fermer et de me bander les yeux. Je pense à G. comme à un objet, je le veux Lui, je le veux. Je sais que c’est malsain de se servir de G. comme ça, de finir par croire l’espace de quelques secondes qu’Il est revenu, qu’il est là, à portée de souffle. Mais vous savez quoi, je ne suis plus sûre de ce que je pense ou de ce que je ressens. Je ne sais même plus ce que je veux en fait. Je sais que je ne veux pas de G., je crois toujours vouloir de Lui. Mais Il est devenu plus un fantasme qu’un être pour moi, un fantasme auquel ça m’amuse de me raccrocher. Car j’aime jouer avec G., ça me divertit, j’aime penser que j’ai le pouvoir et que moi aussi je peux faire du mal aux autres et n’en a avoir rien à foutre, rien à foutre de ses sentiments, rien à foutre de son être. C’est jouissif d’être malsain. La perversité se fait jeu et je m’y abandonne. En sachant que c’est pathétique et que les réveils me font mal à la tête et au cœur. Surtout au cœur.

 

Il n’empêche je m’amuse. Et je suis heureuse.

Ecrit par Margue, à 20:48 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi 27 Août 2011
pour des enfants

Je pensais un peu à lui, un peu, tout doucement, en arrière pensée. E. a continué à m’embrasser, je ne suis pas certaine de me rappeler quand cela a commencé. Peut-être entre cette mauvaise escalope milanaise, et le moment où je l’ai initié à la c*ke. Nous étions donc dans cette boite de drogués et j’étais bien perchée. J’avais oublié le goût dans ma gorge et mes dents serrées, serrées. Ainsi, nous nous embrassions, et nous dansions. Il ne cessait de me faire ce rock endiablé, rock sur musique électrique des week-ends, rock de plus en plus violent. Je peux maintenant danser le rock avec naturel et détachement, comme si j’avais fait cela toute ma jeunesse, comme si j’avais été dans un de ces rallyes à mariage. Sorry I don’t belong. And he doesn’t either. C’était drôle cette violence dans la danse, c’était drôle de l’embrasser en le connaissant, de penser que tout cela finirait sur le compte de la Banque et de se dire qu’honnêtement qui cela intéresse si la France, si le monde coule, tant qu’il y aura des deals, des fees, et le monde à portée d’argent. Ainsi je pensais à un sac Hermès quand il finit par me faire une fabuleuse déclaration de banquier sur mon bon goût. Je ne voyais pas où il voulait en venir et je désirais juste soit me défoncer la gueule plus sévèrement, soit rentrer. Il appela un taxi. Dix minutes d’attente. Embrasse-moi et surtout prends ma main. Ma main avec mes tous petits doigts, ma main. Bref, j’étais trop saoule et lui aussi, lui aussi.

Ecrit par Margue, à 05:31 dans la rubrique "Actualités".
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Samedi 20 Août 2011
piscine

J’aurais pu être une de ces filles pensai-je, un de ces filles un peu voluptueuses à la peau trop bronzée et au cerveau creux, une de ces filles qui babillent à l’ombre des beaux garçons de Saint Germain, avec une bande de copines-hyènes. Mais je ne serai jamais une pouffe Vuitton, parce que Maman m’a éduquée, parce que je hais les bourrelets, et la domination intellectuelle. Je pense moins à lui, moins à son instinct de chasseur, et plus à moi, exclusivement à moi. Je brûle toujours d’envie de faire l’amour dans ce mois d’aout tiède, de passion pour réveiller les nuages. Mais je ne trouve pas, et je ne veux pas me donner au premier venu. Je mange beaucoup de viande, et je cours jusqu’à en vaciller. Je postule, je vais au code, je me défoule. Douce existence en pressage des angoisses de septembre. Mais je me rappelle encore des phrases de ma sœur : « si tu es malheureuse, c’est parce que tu le veux. », et c’est vrai, depuis je ris, et je continue.

Ecrit par Margue, à 02:47 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 24 Juillet 2011
again
e n’ai pas écrit, je n’arrivais pas à l’écrire. J’ai pleuré, pleuré pendant des heures, j’ai laissé des traces de mascara sur son t-shirt. J’ai pleuré en calculant des multiples, j’ai pleuré un dimanche entier au bureau, j’ai pleuré aux toilettes, j’ai pleuré au parc monceau. J’ai pleuré dans mon lit en serrant ma peluche fort. J’ai pleuré devant mes amies, derrière des lunettes de soleil à énorme monture. J’ai pleuré tout le temps. Je lui en veux, je m’en veux. Je me calme peu à peu. Je m’en veux de me retrouver toujours dans les mêmes situations, toujours avec des égoïstes qui ont peur, qui fuient. Moi aussi j’ai fui mais voilà je l’aime bien, je l’aime vraiment bien. Je lui en veux de tout mon cœur, j’ai envie de me venger, mais de venger quoi ? J’aimerais rentrer dans son cerveau et le défoncer à coup de marteau, j’aimerais rencontrer quelqu’un d’autre, j’aimerais ne plus en rêver, ne plus y penser. Faire comme si tout m’était égal. Je suis perdue, je navigue à vue. Je suis perdue, je suis perdue, je suis perdue et rien à l’horizon, pas d’amour, pas de bras. Tous ces gens sont dehors dans l’été enfin venu, heureux et libres, et ils ont l’air de s’aimer. Ils n’ont pas l’air de retourner toutes ces questions, de souffrir, d’avoir perdu leur vie pile au moment où il arrivait. Je me sens seule et abandonnée, même quand je sors, même quand je ris avec mes amis et que j’ai de jolies jambes. Parce que je ne sais pas où il est, je ne sais pas pourquoi il est comme ça et je le hais, je le hais, je le hais d’occuper mes pensées, d’occuper tout. Ca sort peu à peu, ça se soigne avec le temps ; mais je n’aurais pas vraiment gagné d’espoir au passage, je n’aurais pas gagné grand chose. Juste le sentiment de m’être faite avoir.
Ecrit par Margue, à 19:26 dans la rubrique "Actualités".
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Dimanche 12 Juin 2011
contr a

J’ai travaillé plus de trente-cinq heures ce week-end. Des heures sur exc*l, des heures à lire encore et encore les notes de br*kers. Le sommeil se couchait sur le 8ème arrondissement, les jeunes familles heureuses sortaient du parc M*nceau et j’étais toujours là, dans ce déluge de papiers, de livraisons de nourriture, dans ce foutoir d’investm*nt banker. Complètement anesthésiée, c’était samedi soir. Et tout était normal, tout était normal. Je suis rentrée chez moi à la pointe du jour, il y avait des gens saouls dans les rues et je dormais dans mon taxi, en pensant à lui, me demandant ce qu’il faisait. J’ai peur de lui appartenir mais j’ai aussi peur qu’il m’échappe.

Je me suis réveillée en sursaut ce matin, quelle heure est-il, où suis-je ? Dois-je retourner à la Banque ? J’ai allumé mon bl*ckberry et la réponse ne s’est pas faite attendre. Vélib, retour dans l’avenue aux arbres sombres et feutrés, retour devant l’écran, les graphes. Et me demander à quoi cela rime. Un output, délivrer… Who cares ? Ce monde autoréférentiel, décalé de la vie, ce monde dur et neutre, sans sentiment, sans pitié. Ce monde de fous, de nuits blanches, d’argent rampant. Le dégoût suinte sous les moulures de la Banque…

Il m’a appelé ce soir, je venais de me réveiller à nouveau. Nous avons ri, j’aurais aimé être avec lui hier, qu’il voit mes amis, qu’il entre dans mon monde, qu’il m’embrasse au whisky coca et que nous soyons.  Je ne sais pas ce qu’il y a. Je sais que j’en parle beaucoup, que j’y pense trop. Je ne comprends pas notre attirance, notre attraction, je ne comprends pas pourquoi je l’aime bien, lui et pas tous les autres. Etrange vie, sans sens, je me rends à l’évidence que je l’aime bien.  

Ecrit par Margue, à 23:35 dans la rubrique "Actualités".
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